par Valona » Ven 20 Jan 2023 16:35
Bonjour
Je me consacre presque entièrement à mes études. Les épreuves de ma Licence de Sciences m'attendent pour le début de ce mois de juin 2023. Je n'ai donc que peu d'occasions de publier sur les différents forums où je partage mes petites histoires. Mais que l'on se rassure. Je suis toujours aussi "exploratrice" et avide de découvertes insolites. Je profite de ce vendredi sans cours pour m'encanailler un peu par ici. Je vous embrasse très fort. Voilà un nouveau récit tiré de mon Blog privé et personnel.
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Frissons exhibitionnistes - 18
Petite virée à bicyclette
Le vendredi, je termine à midi. Ce qui est le cas aujourd'hui. Je mange avec mes parents. Nous conversons. Comme ils sont tous deux professeurs en faculté, que je suis étudiante en faculté, les conversations restent principalement universitaires. Chacun ayant d'amusantes anecdotes à partager. Le vendredi à midi. Ensuite il y a bien d'autres sujets de conversations jusqu'au lundi. Ces échanges nous font souvent beaucoup rire. J'apprécie ces moments intenses ou se mêlent rire et complicité. J'adore papa et maman.
Avec ce soleil, cette météo exceptionnelle, je n'ai qu'une envie, partir pour une de mes virées à bicyclette. Nous faisons la vaisselle. Je monte me laver les dents. Je me change. Quelle chance, il est encore possible de porter une de mes jupettes "sports". Je mets un simple T-shirt. Mes baskets. Je me regarde dans le miroir de l'armoire. J'ai mes cheveux qui pendent sur mes épaules. Je me trouve attractive et très sexy. L'image que reflète mon miroir a la particularité de m'auto érotiser. C'est génial. Ça aussi j'adore.
Je descends à toute vitesse. Papa a vérifié le gonflage des pneus de mon VTC, (Vélo Tous Chemins). Dans mon petit sac à dos, un fruit, des barres de céréales, de l'eau, un K-way, un legging et la minuscule paire de jumelles. Me voilà parée. J'ai mon I-phone 14 fixé sur le guidon. Un dernier coucou à papa qui règle toujours un dernier détail mécanique sur ma bicyclette. Je quitte rapidement la petite route pour tourner à droite. Les ruines de la vieille chapelle. Il y a plein de gens qui font des photos. Il y a un mariage. Un couple très élégant. La mariée est magnifique dans sa longue robe blanche. Le marié est superbe dans son smoking noir.
Je longe le ruisseau. Je passe près du centre hippique. Il y a plein de voitures dans la cour. Si la météo reste comme ça demain, c'est avec maman que nous irons faire du cheval. Je longe les prés pour arriver à la table d'orientation. Je prends le chemin de droite. Celui qui va vers les étangs des trois chênes. Il n'y a personne. Je croise quelquefois une cavalière qui me fait un signe. J'arrive au premier étang. C'est un plan d'eau d'environ 100 mètres sur 150 mètres. Des saules pleureurs.
Il y a un pêcheur. Est-ce un de ceux que je croise quelquefois ? Je mets mon vélo contre le tronc d'un acacias. Je reste discrète. De mon petit sac à dos, je sors la paire de jumelles. Derrière les bosquets, je regarde. Je scrute. Non. Je n'ai jamais vu ce type. Il doit avoir la cinquantaine. Malgré la douceur il est vêtu d'une tenue para militaire. Trois cannes à pêche fixées sur des supports. Il est vautré dans une chaise longue pliante. Du matériel de chaque côté. De l'autre côté de l'étang. C'est parfait.
Je regarde partout autour de moi. Je suis absolument seule de ce côté du plan d'eau. Mon vélo à deux mètres. Je peux l'enfourcher et filer à toute vitesse à la moindre alerte. Je retire ma culotte. Je la suspends au guidon. J'allume mon I-phone. Je veux filmer ma prestation. J'aime regarder mes show le soir, couchée sur mon lit. J'étudie bien la configuration des lieux. J'anticipe. Je suis rusée et stratège. Il me faut à présent réunir tout mon courage. Calmer les battements de mon cœur. Le retour au calme s'impose pour réussir ma "prestation".
Il ne s'est encore rien passé et je sens déjà la sueur qui picote le bout de mon nez. L'excitation me gagne. C'est tellement bon. J'ai toujours une peur viscérale en ces instants qui précèdent mes "shows". Je me touche. Je suis trempée. Je peux mouiller mes doigts avant de stimuler mon clitoris turgescent. Il me semble encore plus gros. J'en ai des frissons. Tout mon corps tremble. Il fait chaud et pourtant je frissonne. Je sors des buissons. Je ne regarde pas vers le pêcheur. Je m'accroupis. J'essaie de m'isoler complètement dans une bulle de lumière bleue. Formule de "protection" enseignée par une de mes mamies.
Je dois faire pipi depuis la maison. J'ai beau me concentrer, m'imaginer avec les pieds dans l'eau froide, rien à faire. Je n'y arrive pas. Je suis bien trop excitée. La sueur coule dans mon dos, elle picote entre mes seins. J'ai les cuisses écartées. Plus que nécessaire. Pourtant je les écarte encore davantage. Je n'ose toujours pas lever la tête pour regarder le pêcheur. J'ai les cheveux qui masquent mon visage. Je porte mes lunettes noires. Je suis dissimulée derrière un anonymat total. C'est parfait. Mais je suis emplie de sensations éprouvantes autant qu'excitantes. Que ne ferais-je pas pour revivre encore et encore ces instants fabuleux !
Je reste ainsi. Je suis en apnée. Tous mes sens aux aguets. Il n'y a aucun bruit. Je lève la tête. Le type est entrain de me regarder avec une paire de jumelles. J'ai une série de spasmes qui secouent tout mon corps. C'est trop bon. Il y a ce mélange de défi, de honte et d'excitation qui me confine au vertige. Je suis droite, les mains posées sur mes cuisses. Je fixe effrontément ce mec en réunissant tout mon courage. Je suis trempée de sueur. J'imagine ce qu'il découvre dans son appareil optique. J'ai tellement honte d'être vue dans cette totale indécence que j'en tremble comme une feuille.
C'est peut-être une paire de jumelles à fort grossissement. Il peut scruter chaque détail de mon anatomie. Cette idée rajoute encore à mon sentiment de honte. Je dois me concentrer pour ne pas perdre l'équilibre. Je dois surmonter une terrible inhibition. Cette même inhibition qui me procure les plus merveilleuses émotions. J'ai honte. Oui, je suis morte de honte. Mais c'est tellement bon. J'aimerai pouvoir faire pipi. Dévoiler encore un peu plus de ma libido déviante. Comme "possédée", je me vois mettre ma main sur mon sexe. Je mouille mes doigts. Je suis dégoulinante. Si je ne me retiens pas au tronc de l'acacias je vais tomber dans l'eau.
Je stimule mon clitoris. Quand il devient dur et gros, il est de la taille de la dernière phalange d'un pouce d'homme. Je le décalotte. Je vais jouir. Je dois absolument garder le contrôle. Ce serait trop bête. J'aime me garder excitée jusqu'au lit, le soir. Je cesse. Je me concentre. Là-bas, le pêcheur n'a pas bougé. Il me regarde. La paire de jumelles dans ses mains. J'apprécie. C'est un homme qui sait. S'il devait se lever, tenter quoi que ce soit, cela mettrait fin à son plaisir comme au mien. C'est donc un type intelligent. Il n'a aucune initiative inconsidérée. Un bonheur pour moi.
Je sens les fourmis dans mes jambes. L'ankylose me gagne. Je me redresse. Soulagée. Je garde ma jupette coincée sous mes coudes. Je suis cambrée sur mes genoux fléchis. J'écarte les lèvres de mon sexe. Je relève la tête pour recommencer à fixer le mec. Il vient de sortir son sexe. Je me baisse pour récupérer ma paire de jumelles. Je regarde. Son sexe est impressionnant. Comme ceux de certains acteurs dans les films que j'affectionne. Ces sexes qui passent dans les trous des murs. Nous nous fixons quelquefois dans nos paires de jumelles. C'est délirant et terriblement insolite.
Je trouve le moment surréaliste. Nous sommes tous deux à nous observer. Chacun scrutant l'autre dans sa paire de jumelles. Cette idée m'amuse. Je peux enfin faire pipi. Je m'accroupis très vite. Je me cambre. En appui sur mes mains posées au sol, je distribue de généreux jets qui viennent se briser dans l'eau. Le type s'est levé. Il se masturbe. Son mouvement accélère. Il cesse soudain, se penche en avant en se tenant les parties comme s'il avait mal. Je viens de comprendre. Il éjacule.
Des voix. Elles viennent de là-bas, sur ma gauche. Deux cavalières. Je me redresse juste à temps. Mais je suis convaincue qu'elles m'ont vu. Leurs regards en dit long. Leurs sourires également. Entre filles, on se comprend. Elles voient ma culotte suspendue au guidon du vélo. Nous nous saluons. Je suis morte de honte. J'éteins mon I-phone. J'enfile ma culotte. Je me sauve à toute vitesse. Je reprends doucement mes esprits. Je continue ma promenade. Je m'arrête au centre hippique. J'y retrouve des copines. Cela tempère un peu mon excitation débordante. Je me masturberais ce soir, dans ma chambre. En regardant mes "exploits" sur le téléphone.
Bisou
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